
En fait, on baigne tantôt dans les 60's, tantôt dans la pop 80, le punk, la new wave... En écoutant la voix de la chanteuse Kate Jackson, on pense immédiatement à Deborah Harry de Blondie. Cette affiliation se retrouve même dans la structure et les mélodies des morceaux, avec ces refrains entraînants et ces harmoniques variées. Je pense aussi au groupe Metric, que Peefog a vite oublié alors qu'il devrait se pencher dessus un peu plus (le vilain).
Guitares viriles et basse couillues, enrobées dans des sonorités pulpeuses et sensuelles. Voilà mon point de vue. On écoute leur "tube" extrait de l'album "Someone to drive you home".
Le salon de maquillage
Week End Without Make Up