Phosphorescent

29/01/2008

Eh ben ... heureusement que j'ai ma grosse crise de flemme en ce moment, car janvier c'est pas le gros mois des sorties de l'année... pas grand chose à se coller sous la moustache...

Pour preuve : j'ai fait une descente récente à la fnouq, ben... résultat j'ai acheté des vieilles sorties que j'avais pas pris avant (l'excellent album des Antelope et le dernier The Kills).

Pour trouver du son, il faut aller gratter loin très loin dans les méandres du net. Et pour aller gratter loin faut avoir envie. Je vous cache pas qu'en ce moment j'ai plutôt un enooooooorme poil dans la main.

J'ai quand même réussi a vous degoter un pti quelque chose : Phosphorescent.
Matthew Houck aka le lead de Phosphorescent produit chez moi l'effet d'un gros deglingo effleuré par la grâce. D'entrée sur la compo "At death, A proclamation" ca m'a emballé. Sa voix avant tout. Sa voix mélancolique et assez haut perchée, lanscinante, envoutante. Sa voix sur un lit de grattes seches et ukulélé. Ca m'a fait fugitivement penser à un mélange improbable entre Beirut et Gong.
Au passage son album Pride est sorti en 2007 signé sur le label Dead Oceans. Bon courage pour mettre la main dessus...

Quoiqu'il en soit j'ai remué ciel et terre pour vous ramener ces quelques pépites, qui je suis sur vous toucheront au meme titre qu'elles m'ont touché.

Moteur !

A picture of our torn up praise

Sa page spaillesseu (ecoutez "Wolves" c'est vraiment super beau)

At Death, A proclamation